{"id":2601,"date":"2022-10-25T09:10:59","date_gmt":"2022-10-25T07:10:59","guid":{"rendered":"https:\/\/commissionroyalehistoire.s303.be\/?page_id=2601"},"modified":"2023-10-25T22:01:51","modified_gmt":"2023-10-25T20:01:51","slug":"instructions-aux-auteurs","status":"publish","type":"page","link":"http:\/\/commissionroyalehistoire.be\/fr\/publications\/instructions-aux-auteurs\/","title":{"rendered":"Instructions aux auteurs"},"content":{"rendered":"
[vc_row row_height_percent=\u00a0\u00bb0″ override_padding=\u00a0\u00bbyes\u00a0\u00bb h_padding=\u00a0\u00bb2″ top_padding=\u00a0\u00bb3″ bottom_padding=\u00a0\u00bb3″ overlay_alpha=\u00a0\u00bb50″ gutter_size=\u00a0\u00bb3″ column_width_percent=\u00a0\u00bb100″ shift_y=\u00a0\u00bb0″ z_index=\u00a0\u00bb0″ uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb209125″][vc_column width=\u00a0\u00bb1\/1″][vc_custom_heading auto_text=\u00a0\u00bbyes\u00a0\u00bb text_color=\u00a0\u00bbaccent\u00a0\u00bb heading_semantic=\u00a0\u00bbh1″ text_size=\u00a0\u00bbfontsize-723857″ text_weight=\u00a0\u00bb400″ text_height=\u00a0\u00bbfontheight-576653″ text_space=\u00a0\u00bbfontspace-156327″ separator=\u00a0\u00bbyes\u00a0\u00bb separator_double=\u00a0\u00bbyes\u00a0\u00bb uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb150576″ text_color_type=\u00a0\u00bbuncode-palette\u00a0\u00bb][\/vc_custom_heading][vc_row_inner][vc_column_inner width=\u00a0\u00bb1\/2″][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb195458″]Comme le rappelle son r\u00e8glement organique du 1er<\/sup> avril 1976, la Commission royale d’Histoire\u00a0a pour mission de :<\/p>\n \u00ab\u00a0rechercher, de r\u00e9pertorier, d’\u00e9diter ou d’analyser les sources \u00e9crites int\u00e9ressant l’histoire de la Belgique, de publier des \u00e9tudes critiques concernant ces sources et de mettre des instruments de travail \u00e0 la disposition des historiens\u00a0\u00bb\u00a0<\/b>.<\/em><\/p>\n La statistique et le catalogue de ses publications<\/a><\/strong> t\u00e9moignent de son activit\u00e9.<\/p>\n Tant par les contributions scientifiques qu’elle accueille, apr\u00e8s examen, que par les travaux de ses membres, la Commission a toujours jou\u00e9 un r\u00f4le actif dans le monde historique belge.[\/vc_column_text][\/vc_column_inner][vc_column_inner width=\u00a0\u00bb1\/2″][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb121096″]Ses multiples \u00e9ditions en sont le reflet. Par ces exemples, elle s’efforce de stimuler et d’orienter la recherche. Elle veille aussi \u00e0 contribuer \u00e0 l’inspirer en rendant le monde historique attentif aux sources susceptibles de f\u00e9conder des voies nouvelles.<\/p>\n Cette politique s’est naturellement \u00e9labor\u00e9e et diversifi\u00e9e au cours du temps. La pr\u00e9sence au sein de la Commission de professeurs d’universit\u00e9s et d’archivistes a toujours engendr\u00e9 des retomb\u00e9es b\u00e9n\u00e9fiques r\u00e9ciproques.<\/p>\n Les directives pour la pr\u00e9paration des \u00e9ditions de texte sont disponibles ici<\/a><\/strong>.[\/vc_column_text][\/vc_column_inner][\/vc_row_inner][\/vc_column][\/vc_row][vc_row row_height_percent=\u00a0\u00bb0″ override_padding=\u00a0\u00bbyes\u00a0\u00bb h_padding=\u00a0\u00bb2″ top_padding=\u00a0\u00bb3″ bottom_padding=\u00a0\u00bb3″ back_color=\u00a0\u00bbcolor-114040″ overlay_alpha=\u00a0\u00bb50″ gutter_size=\u00a0\u00bb3″ column_width_percent=\u00a0\u00bb100″ shift_y=\u00a0\u00bb0″ z_index=\u00a0\u00bb0″ uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb521520″ back_color_type=\u00a0\u00bbuncode-palette\u00a0\u00bb][vc_column width=\u00a0\u00bb1\/1″][vc_custom_heading text_font=\u00a0\u00bbfont-177168″ text_size=\u00a0\u00bbh3″ text_weight=\u00a0\u00bb500″ text_transform=\u00a0\u00bbuppercase\u00a0\u00bb text_space=\u00a0\u00bbfontspace-137517″ uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb447087″] Comment introduire une publication ?<\/span>[\/vc_custom_heading][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb590620″]L’impression des manuscrits pr\u00e9sent\u00e9s \u00e0 la Commission est soumise \u00e0 son approbation. Deux membres de chaque r\u00e9gime linguistique sont charg\u00e9s de s’assurer de la valeur scientifique de la contribution propos\u00e9e. Ils veillent \u00e9galement au respect des r\u00e8gles <\/a>\u00e9tablies dans les Instructions pour la publication des textes historiques<\/i>. Les remarques \u00e9ventuelles sont communiqu\u00e9es aux auteurs, qui sont pri\u00e9s de s’y conformer.<\/p>\n Un des quatre commissaires est ensuite charg\u00e9 de l’examen final du texte amend\u00e9.<\/p>\n Les manuscrits sont \u00e0 adresser au : Surtout s’il s’agit de travaux d’envergure, il est prudent de pr\u00e9senter d’abord le projet afin de recueillir un avis pr\u00e9alable de la Commission. Tout renseignement peut s’obtenir en t\u00e9l\u00e9phonant au 32 (0)2 550 22 09 ou par l’e-mail : jeanluc.depaepe@gmail.com<\/a>.[\/vc_column_text][\/vc_column][\/vc_row][vc_row row_height_percent=\u00a0\u00bb0″ override_padding=\u00a0\u00bbyes\u00a0\u00bb h_padding=\u00a0\u00bb2″ top_padding=\u00a0\u00bb3″ bottom_padding=\u00a0\u00bb3″ overlay_alpha=\u00a0\u00bb50″ gutter_size=\u00a0\u00bb3″ column_width_percent=\u00a0\u00bb100″ shift_y=\u00a0\u00bb0″ z_index=\u00a0\u00bb0″ uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb149137″][vc_column width=\u00a0\u00bb1\/1″][vc_custom_heading text_font=\u00a0\u00bbfont-177168″ text_size=\u00a0\u00bbh3″ text_weight=\u00a0\u00bb500″ text_transform=\u00a0\u00bbuppercase\u00a0\u00bb text_space=\u00a0\u00bbfontspace-137517″ uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb204647″] D\u00e9veloppements historiques<\/span>[\/vc_custom_heading][vc_column_text uncode_shortcode_id=\u00a0\u00bb101241″]Les lignes qui suivent visent simplement \u00e0 replacer dans leur contexte et \u00e0 situer chronologiquement la cr\u00e9ation des diff\u00e9rentes s\u00e9ries \u00e9dit\u00e9es par la Commission. Le relev\u00e9 exhaustif des titres composant chacune d’elles figure dans le catalogue des publications <\/a><\/strong>.<\/p>\n A l’origine, les jalons chronologiques <\/a><\/strong>le mettent en \u00e9vidence, la Commission est appel\u00e9e \u00e0 rechercher et publier les chroniques belges in\u00e9dites. Toutefois, sa premi\u00e8re publication en la mati\u00e8re, in-4\u00b0, comportait d\u00e9j\u00e0, en appendice, l’\u00e9dition de chartes jug\u00e9es un compl\u00e9ment indispensable \u00e0 sa bonne intelligence.<\/p>\n D\u00e8s 1837, la Commission soutient le projet d\u00e9pos\u00e9 par Gachard de dresser une Table chronologique des chartes et dipl\u00f4mes imprim\u00e9s concernant l’histoire de la Belgique <\/i>, \u00e0 l’instar de ce que L. de Br\u00e9quigny avait lanc\u00e9 pour la France d\u00e8s 1769. La t\u00e2che assign\u00e9e \u00e0 la Commission implique la recherche de documents in\u00e9dits, dont certains auront les honneurs de l’\u00e9dition. La vaste prospection men\u00e9e au XIXe<\/sup> si\u00e8cle dans les collections belges et \u00e9trang\u00e8res, publiques ou priv\u00e9es, d\u00e9bouche sur quantit\u00e9 de rapports de mission. Ces relev\u00e9s de pi\u00e8ces occupent de nombreuses pages du Bulletin<\/a><\/strong>. Celui-ci accueille aussi l’\u00e9dition d’innombrables pi\u00e8ces jug\u00e9es int\u00e9ressantes. De Reiffenberg et Gachard comptent parmi les pourvoyeurs les plus actifs \u00e0 cet \u00e9gard. Les Tables<\/i>, publi\u00e9es r\u00e9guli\u00e8rement, permettent de mieux tirer parti des \u00e9normes ressources documentaires ainsi rassembl\u00e9es.<\/p>\n Sous l’influence de Gachard encore, la Commission qui, d’un point de vue chronologique, s’\u00e9tait plut\u00f4t limit\u00e9e au moyen \u00e2ge, d\u00e9borde sur le XVIe<\/sup> si\u00e8cle. Son volume intitul\u00e9 Retraite et mort de Charles Quint au monast\u00e8re de Yuste<\/i>. Lettres in\u00e9dites, ouvre en 1854 la s\u00e9rie in-8\u00b0. Cette nouvelle s\u00e9rie est consid\u00e9r\u00e9e comme un compl\u00e9ment au Bulletin. Elle accueillera les \u00e9tudes trop volumineuses pour prendre place dans celui-ci.<\/p>\n
\nSecr\u00e9taire-tr\u00e9sorier de la Commission,<\/strong>
\nPalais des Acad\u00e9mies, rue Ducale, 1<\/strong>
\nB-1000 Bruxelles<\/strong><\/p>\n
\nUn arr\u00eat\u00e9 royal est pris en ce sens le 8 d\u00e9cembre de cette ann\u00e9e.
\nUn arr\u00eat\u00e9 minist\u00e9riel du 16 novembre 1838 arr\u00eate les r\u00e8gles \u00e0 suivre.
\nA la mort d’\u00c9mile Gachet, en 1857, attach\u00e9 \u00e0 la Commission pour s’acquitter du travail, 16.151 bulletins avaient \u00e9t\u00e9 r\u00e9dig\u00e9s.
\nL’archiviste de la ville de Bruxelles, Alphonse Wauters, fut d\u00e9sign\u00e9 pour poursuivre l’entreprise.
\nDu point de vue g\u00e9ographique, il fut d\u00e9cid\u00e9 d’\u00e9tendre le champ \u00e0 toutes les r\u00e9gions ayant constitu\u00e9, au gr\u00e9 des \u00e9poques, les Pays-Bas m\u00e9ridionaux. Le premier volume, contenant l’analyse des actes ant\u00e9rieurs \u00e0 1100, para\u00eet en 1866. \u00c0 sa mort, en 1898, Wauters avait donn\u00e9 dix volumes, portant la Table jusqu’\u00e0 la fin de 1350. L’usage allait d\u00e9signer l’ouvre par le nom de son infatigable r\u00e9alisateur plut\u00f4t que par son titre.
\nUn suppl\u00e9ment g\u00e9n\u00e9ral, contenant tous les actes \u00e9dit\u00e9s depuis 1888 jusqu’\u00e0 1946, met fin au travail.
\nCe tome XI, qui comporte, quatre parties, a donn\u00e9 lieu, en 1971, \u00e0 des corrections et des index. Une refonte s’imposait cependant. En effet, les analyses ne donnaient aucune information sur la provenance diplomatique des actes et les actes in\u00e9dits faisaient totalement d\u00e9faut.
\nC’est chose faite \u00e0 pr\u00e9sent, actuellement jusqu’en 1200.
\nLe\u00a0\u00ab\u00a0Nouveau Wauters\u00a0\u00bb\u00a0a vu le jour en 1997, sous forme de c\u00e9d\u00e9rom. Il porte le titre de Thesaurus diplomaticus<\/em> .<\/p>\n